En partenariat avec le groupe ISM et Soft Skill Academy, le Gender Ataya s’inscrit dans la période des 16 jours d’activisme contre les violences faites aux femmes et aux filles et se veut « un espace de dialogue propice à des discussions novatrices, locales et scientifiques sur les progrès et les défis rencontrés en Afrique de l’Ouest en termes d’égalité des sexes et de droits des femmes » par le biais, notamment, de la production et la dissémination connaissances sur les violences basées sur le genre (VBG).
Rendez-vous le 11 décembre !
Malgré l’abondance d’initiatives et de production intellectuelle sur le genre au niveau mondial, le manque de compréhension du terme « égalité de genre » ainsi que la complexité des rôles de genre dans le contexte de l’Afrique de l’Ouest et du Centre, constituent un obstacle majeur à la mise en œuvre d’actions sensibles au genre.
C’est dans ce contexte que le Young Professional Group (YPG) d’ONU Femmes WCARO propose de mettre en place une « série de dialogue et d’apprentissage sur le genre » entre acteurs de différents horizons engagés dans la poursuite de l’égalité des sexes et la promotion des droits humains en Afrique de l’Ouest et du Centre avec l’aide de ses partenaires.
L’édition de cette année, marquée par la COVID-19, aura pour cible la Jeunesse : étudiants (ISM, les universités publiques et privées), activistes, entrepreneurs, professionnels, ls artistes/influenceurs/musiciens… Les échanges, sous forme de débats en groupe restreint, porteront sur les thèmes suivants :
- Impact des mesures et restrictions sur les cas de violences basées sur le genre (VBG) comment prévenir, dénoncer et prendre en charge ?
- Activisme et renforcement de capacités de la jeunesse ;
- Le harcèlement en milieu scolaire- quelles mesures pour cultiver la dénonciation ;
- Masculinité positive vs Masculinité toxique : le rôle des hommes dans Génération Égalité. ;
- La loi sur la pénalisation du viol et le code de la famille.
À travers ces échanges de connaissances, ONU Femmes et ses partenaires organisateurs cherchent à créer une communauté composée d’experts, comprenant des institutions universitaires, des acteurs du secteur privé, des organismes de la société civile et communautaire, y compris des associations de jeunes et de femmes, des médias et des artistes pour faire écho aux demandes et aux priorités de l’Afrique de l’Ouest et du Centre.